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"La Garce"

Publié le par 007bond

"Beyond the Forest" ( "La Garce" ) a été réalisé par King Vidor en 1949. Au casting :

BETTE DAVIS/ROSA MOLINE

JOSEPH COTTEN/DOCTEUR LOUIS MOLINE

" Rosa Moline, épouse d'un médecin d'une petite bourgade, a pour amant un homme d'affaires de Chicago, qu'elle retrouve souvent dans sa luxueuse villa de Chicago. Rosa décide de tout quitter pour lui mais celui-ci l'éconduit. Rosa revient chez son mari et découvre qu'elle est enceinte. Son mari, pensant être le père, est ravi et espère pouvoir s'attacher à sa femme rebelle..."

Oeuvre sous-estimée à sa sortie "La Garce", réalisé par King Vidor, dresse le portrait fascinant du "Mal", en la personne d'une femme vénale portée par l'immense Bette Davis !

Rêvant d'un "ailleurs" plus luxueux, plus trépidant, Rosa Moline, être cupide, abandonnée par son riche amant, a dû mal à reprendre une vie "monotone" auprès d'un époux, simple médecin d'une petite bourgade américaine. Avec en fond de décor une déchetterie bruyante et une ambiance poisseuse, "La Garce" vaut, surtout et avant tout, pour l'interprétation hallucinante d'une Bette Davis rongée par la haine: la faute à un milieu médiocre dans lequel, elle ne peut se résoudre à évoluer : femme trop libre autant dans sa tête que dans son corps. Bien avant le cultissime "What Ever Happened To Baby Jane" ( voir ma critique ), la star américaine prenait déjà les premiers rictus de la "vipère" : cupide, calculatrice, destructrice, malheureuse face à un mari, gentil, cédant à ses moindres caprices mais, trop faible, trop humble; laissant, au final, Rosa, dans un monde étouffant à ses yeux et, dont sa soif d'indépendance ne pourra jamais être assouvie.

D'une noirceur extrême, "La Garce" prouve que seule Bette Davis, dans une Amérique ultra-puritaine, était capable d'interpréter, en 1949, une "Rosa Moline" diabolique, provocante, capable de tout et surtout du pire pour atteindre son but. En vain, seuls, le désespoir, la frustation puis la mort seront au rendez-vous !!!

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"Au Nom de ma Fille" !!!

Publié le par 007bond

"Edge Of Darkness" a été réalisé Par Martin Campbell en 2009 et sortie sur les écrans, le 17 février 2010. Au casting :

MEL GIBSON/THOMAS CRAVEN

RAY WINSTONE/DARIUS JEDBURGH

BOJONA NOVAKOVIC/EMMA CRAVEN

"Thomas Craven, lieutenant de la brigade criminelle, élève seul sa fille de 25 ans. Lorsque celle-ci est retrouvée assassinée, personne n'a de doute : c'est lui qui était visé. Pour découvrir qui a tué sa fille, Craven va devoir s'aventurer dans des milieux troubles où les affaires cotoîent la politique..."

Adaptation d'une mini-série anglaise déjà réalisé par Martin Campbell, "Edge Of Darkness" où le douloureux chemin de croix d'un flic désespéré suite au meurtre de son enfant.

Thomas Craven, lieutenant de la brigade criminelle de Boston, retrouve sa fille. Courtes retrouvailles, celle-ci est assassinée sur le perron de la maison familiale. Dès lors, Craven va aller de surprise en surprise, bien loin du simple meutre commandité... Martin Campbell renoue, pour le plus grand plaisir de certains cinéphiles - dont moi - avec les polars des années 70/80, privilégiant le "verbe", l'émotion qui en découle à l'action, plus discrète : la relation père/fille avant/après la mort prenant toute son ampleur et sa crédibilité. Et dans cet univers sobre, le grand retour d'un Mel Gibson toujours aussi charismatique et puissant. Fort de toutes ses années de flic "retord", il excelle et montre une nouvelle facette : celui d'un lieutenant désabusé et profondément tourmenté : les années n'ont pas, véritablement, eu de prises sur le grand comédien australien. Et dans sa quête éperdue sur la vérité, un personnage "mystérieux" - un homme de l'ombre - renforce l'ambiguïté du récit : un Ray Winstone aussi classe qu'impressionnant.

Avis aux amateurs, Martin Campbell délivre un long-métrage, certes classique, mais ténébreux, paranoïaque, hanté par la présence d'un Mel parfait, égal à lui-même ; "Edge Of Darkness" signe le grand retour des thrillers à l'ancienne - aux antipodes de tous ces blockbusters insipides, aux Boom Boom à répétitions, aux éternels fonds verts - un pur régal !!!

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"Vengeance en la demeure"!!!

Publié le par 007bond

"The Last House on The Left" ( La Dernière Maison sur la Gauche ) a été réalisé par Dennis Lliadis et sortie sur les écrans, le 22 avril 2009. Au casting :

MONICA POTTER/EMMA COLLINGWOOD

TONY GOLDWIN/JOHN COLLINGWOOD

SARA PAXTON/MARI COLLINGWOOD

GARRET DILLAHUNT/KRUG

RIKI LINDHOME/SADIE

SPENCER TREAT CLARK/JUSTIN

AARON PAUL/FRANCIS

"Alors qu'elle vient tout juste d'arriver avec ses parents dans leur maison isolée au bord du lac, Mari se fait kidnapper par un psychopathe tout juste évadé de prison. Terrifiée, violemment torturée et laissée pour morte, Mari tente de rejoindre sa famille. C'est chez elle que ses tortionnaires ont, sans le savoir, trouvé refuge pour la nuit..."

Très loin de la version originale réalisé par Wes Craven - noyée, malheureusement, par son côté burlesque "décalé", agrémentée d'une musique country digne des feuilletons de ce cher "Sheriff fais-moi peur" - "La dernière Maison..." 2009 se veut, avant tout, d'une noirceur terrifiante, gagnant en crédibilité.

Laissée pour morte, après avoir été enlevée, violée, une jeune fille retrouve sa famille; celle-ci ayant accueillie, sans le savoir, les bourreaux de leur enfant. S'ensuivra une vengeance implacable de la part des parents. Filmé sans concession et fort d'une réalisation extrêmement bien soignée " La Dernière Maison..." est digne des meilleurs films d'horreurs; Denis Lliadis dépoussière le genre, évite la surenchère d'effets gores, élimine le superflu pour aller à l'essentiel, sans pour autant ménager nos nerfs - la scène du viol est, particulièrement dérangeante et froide - et livre un remake intense, développant un questionnement sur le comportement humain face à la vengeance : où doit-elle commencer ? Où doit-elle s'arrêter ? Vaste interrogation que l'on n'aura de cesse de se poser face à l'attitude des parents.

Aussi réussie - c'est d'ailleurs très rare, cela mérite d'être souligné - que les nouvelles adaptations de "Massacre à la Tronçonneuse" et  "La Colline à des yeux", " The Last House on the Left" 2009, au réalisme frappant, reste une oeuvre efficace, d'une violence savamment orchestrée : bref plus qu'un simple remake, une excellente surprise ( A voir en V.O ) !!!

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" La Dernière Maison..." 2009 est un remake de la version réalisée en 1972, et qui révéla au grand public le célèbre réal Wes Craven. ( A voir pour comparer le développement de l'histoire, beaucoup plus soignée et étudiée en 2009 )

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" L'étrange Monsieur Victor" !!!

Publié le par 007bond

" L'étrange Monsieur Victor" a été réalisé par Jean Gremillon en 1937. Au casting :

RAIMU/VICTOR AGARDANNE

MADELEINE RENAUD/MADELEINE AGARDANNE

ANDREX/ROBERT CERANI

PIERRE BLANCHAR/BASTIEN ROBINEAU

VIVIANE ROMANCE/ADRIENNE ROBINEAU

"Un homme apparemment au-dessus de tout soupçon laisse un autre que lui aller en prison, après avoir commis un meurtre. Mais un jour, l'innocent est libre..."

Chef d'Oeuvre du cinéma français d'Avant-Guerre "L'étrange Monsieur Victor" permet à l'immense Raimu de camper, en 1937, un personnage à double facette, que l'on va autant aimer que détester.

Ce cher Monsieur Victor, à la bonhomie contagieuse - parfait époux et père de famille responsable, aimable commerçant - va se révéler, la nuit tombante, être un redoutable assassin, laissant son voisin Bastien Robineau, un innocent, payer à sa place. 7 ans plus tard Monsieur Victor prendra sous son aîle l'homme qui ignore que son généreux protecteur est le véritable coupable. Jean Grémillon livre une fine analyse de tous les travers de l'humain : un sourire chaleureux cache, souvent, une grande perfidie. Tonitruant, envahissant, "Pagnolesque" dans la plupart de ses films, Raimu, sous l'oeil du cinéaste français, se révèle beaucoup plus noir qu'à l'accoutumée, plus violent aussi, adoptant, pour certaines scènes, un jeu tout en retenue : un grand numéro d'acteur époustouflant.

Le célèbre mythe du Docteur Jekyll et Mister Hyde s'appliquerait-il à tous les hommes ? "L'étrange Monsieur Victor" est une excellente critique sociale , un flagrant constat sur l'âme humaine, sûrement plus sombre qu'il n'y paraît. Un joyau français à découvrir ou à re-découvrir !!!

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Jules Muraire dit "Raimu" né à Toulon le 17 décembre 1883 a laissé une forte image dans toutes les mémoires et en particulier dans les films de Marcel Pagnol : les inoubliables et incontournables " Marius", "Fanny" et "César", "La Femme du Boulanger", "La fille du puisatier" avec le grand Fernandel. Mais c'est tout d'abord au théâtre que le comédien français triomphe. Il tournera, par la suite, un grand nombre de films dont l'excellent " Colonel Chabert" ou "l'étrange monsieur Victor" ( 2 de mes films préférés ). En 1946, il décède, au sommet de sa gloire à l'âge de 63 ans, d'une crise cardiaque dans son sommeil, provoquée par un dosage d'anesthésiant qu'il ne supporte pas, lors d'une opération chirugicale bénigne. Paris lui réservera des funérailles nationales devant des milliers de personnes. Figure emblématique du cinéma français, Raimu laisse son empreinte géante avec son franc-parler, son fabuleux accent du Sud et son immense talent. Personne ne pourra oublier la fameuse partie de cartes sur le Vieux Port à Marseille ( Ville où je suis né ) et où "César"/Raimu lançe à Panisse/Charpin "Tu me fends le coeur" : tout un poême !!!

FILMOGRAPHIE SELECTIVE

CITATION DE RAIMU

" AH, LE CINEMA ! QU'EST-CE QUE CE SERAIT S'IL N'Y AVAIT PAS DE CAMERA ! CE SERAIT... MERVEILLEUX, TOUT SIMPLEMENT".

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Batman 3 confirmé !!!

Publié le par 007bond

Enfin c'est confirmé : Christopher Nolan réalisera bien la suite de "TDK" avec toujours la même équipe, autant du côté des scénaristes que des acteurs ( le mystère reste pour l'instant entier quant au nouveau "méchant"). Il va falloir prendre notre mal en patience !!!



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Elémentaire mon cher Robert !!!

Publié le par 007bond

"Sherlock Holmes" a été réalisé par Guy Ritchie en 2009 et sortie sur nos écrans le 3 février 2010. Au casting :

ROBERT DOWNEY JR/SHERLOCK HOLMES

JUDE LAW/DOCTEUR H.WATSON

MARK STRONG/LORD BLACKWOOD

RACHEL McADAMS/IRENE ADLER

KELLY REILLY/MARY MORSTAN

"Une nouvelle enquête pour Sherlock Holmes et son acolyte, depuis toujours, le Docteur Watson".

Guy Ritchie, dans l'univers du plus célèbre détective anglais, cela paraissait peu probable, même déplacé - un geste de lèse-majesté - et pourtant le résultat est là : ce nouveau "Sherlock Holmes" tient largement ses promesses, offrant au spectateur, un savoureux cocktail d'ingéniosité, de rebondissements, d'actions, le tout légèrement décalé mais, toujours aussi "So British" : Robert Downey Jr et Jude Law vs Mark Strong, un combat à coup de méninges et de bonnes droites !

Dans cette nouvelle enquête, Holmes et Watson vont devoir affronter le terrible Lord Blackwood, esprit mystique, machiavélique. Si l'histoire reste de facture classique, en résonance avec les bons vieux romans de cher Conan Doyle, le vrai + de ce "Holmes" nouveau est, sans nul doute, son développement. Le cinéaste anglais délivre un long-métrage à l'esthétisme flamboyant - Londres du XVIIIe siècle revêt son plus bel habit, sous nos yeux émerveillés - ainsi qu'un filmage très personnel et soigné - j'oserais, même dire, très Ritchien - On remercie le réal de ne pas être, totalement, tombé dans le blockbuster de base : les scènes d'actions sont parfaites, innovantes et, où le "ralenti" est là pour expliquer et non pour affirmer. Pour en arriver à "Holmes" : Robert Downey Jr n'a plus rien à nous prouver et pourtant à chacune de ses prestations ( depuis les années 80 ) le comédien est encore capable de nous surprendre ( le talent, c'est évident et il en a à revendre) en interprétant - sans détruire le mythe du célèbre détective - un "Sherlock Holmes" plus humain, auto-destructeur, physique mais, toujours aussi fin limier, cynique à souhait ; accompagné d'un Jude Law/ Docteur Watson, impeccable, plus mature : leurs disputes ainsi que leur tendre, touchante complicité font mouche à chaque instant. Face à eux, ils trouvent un "méchant" à leur taille en la personne du puissant et talentueux Mark Strong ( fidèle au réal anglais : il était magistral dans l'excellent "Rock'Nrolla" ) qui vampirise l'écran à chacune de ses apparitions. Sans oublier la gent féminine et, tout particulièrement une Irène Adler de "choc et de charme"/ la superbe Rachel McAdams.

Conan Doyle n'aurait pas rougir de honte, Guy Ritchie a réussi l'impossible - tant pis pour ses nombreux détracteurs - faire renaître un "Sherlock Holmes", certes plus Rockn'roll mais, néanmoins toujours aussi intelligent, teinté d'une certaine noirceur, d'un humour destructeur; le tout rehaussé de la sublime BO de Hanz Zimmer - que l'on ne présente plus - sans oublier un savoureux générique de fin : "CHAPEAU BAS MON CHER RITCHIE" !!!

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"Poupée de chair, poupée de sang" !!!

Publié le par 007bond

Stéphane Velut, né en 1957, travaille et enseigne l'anatomie à Tours, Auteur de nombreux ouvrages scientifiques et d'un essai philosophique, il publie en 2009, un 1er roman intitulé "Cadence".

"Munich, 1933. Un peintre, chargé d'exécuter le portrait d'une enfant louant l'avenir radieux de l'Allemagne, se cloître en compagnie de son modèle. Mais c'est tout autre chose qu'il fait de sa jeune pensionnaire et qu'il déploie comme un cérémonial au fil de son récit..."

Il y a des textes - forts de leur ambiance dérangeante et glauque - qui sont capables de hanter, plusieurs mois après, le simple lecteur que je suis. "Cadence", oeuvre fascinante - 1er roman très réussi de Stéphane Velut - en fait résolument partie !

Ce récit déroutant d'un peintre - principal narrateur dont je vais devenir le témoin/complice de tous ses faits et gestes - nous entraînent dans l'Allemagne de 1933, déjà sous l'emprise d'un nazisme croissant. Et si le "Mal" gronde à l'extérieur, il trouve, avant tout sa place, à l'intérieur de l'appartement de cet homme anonyme qui découvre son "moi"; assumant sa vraie personnalité : sadique, perverse, fétichiste. L'artiste, choisi par un certain "Hitler", pour peindre le portrait d'une jeune enfant - peinture à la gloire de la nouvelle Allemagne - va aller au-delà de l'oeuvre qu'il doit accomplir ; transformant son modèle en une poupée vivante, déshumanisée, prisonnière d'un corset fait de métal et de pièces de cuir, la mutilant à chaque mouvement. Poupée "mécanique", articulée en cadence, créature "fantasmé" devenue réalité, elle ne pourra que se soumettre, dans un silence absolu, aux actes de barbaries de son bourreau.

Huit-clos glacial "Cadence" traite, avant tout, de la déshumanisation, de l'enfermement, d'une folie délirante ( que l'on verra , malheureusement, s'épanouir pendant la Seconde Guerre Mondiale ). Avec une écriture quasi "chirurgicale", Stéphane Vélut - Neurochirugien de son état - prend le risque de bousculer, tout en douceur, ses lecteurs ( trices ). Pari réussi, malgré son propos horrifiant, ce 1er roman est une passionnante descente aux enfers dans un esprit psychotique, nous obligeant à dépasser, à chaque ligne, les frontières de la moralité, pour voir plus loin, dans l'âme d'un névrosé !!!

PS : Merci à Dasola pour m'avoir fait découvrir "Cadence" ( Voir sa critique ).

EXTRAITS DE "CADENCE"

" Mon but était atteint : je disposais d'une poupée d'une seule couleur, toute pâle, et entièrement gainée d'un étui mécanique... On aurait dit une chimère. Elle bougeait d'une façon ahurissante, elle cliquetait, elle chuintait, ses paupières, ses pieds, ses yeux, sa tête remuaient comme sous l'emprise de la folie... Elle avait quelque chose du danseur. Ma pensionnaire était comme un danseur, mais avec pour tous muscles une armature. C'était un monstre, une mante réligieuse, quelque chose qui n'existe pas."

" Désormais je ne me méfie plus de moi. Je me supporte et, mieux, plus délicieux encore, j'ai du plaisir à me sentir transparent à mes yeux. C'est comme si ma propre peau ne pouvait plus me cacher l'intérieur de mon ventre, comme si j'avais tous mes organes à ma portée : mon coeur, mes bronches, ma gorge, mes os. Mon propre crâne ne peut plus me cacher mes pensées. C'est ce qui me différencie de vous : je ne suis plus pour moi un étranger ".

" De moi, vous pourrez dire bien des choses : vous pourrez me blâmer, me prétendre malade ou fou, vous réjouir de ma mort, cela ne changera rien, j'ai existé. Je ne suis pas un homme normal, mais après tout des hommes normaux il n'y en a pas. Il n' y a que des gens ordinaires, des gens qui ne font pas le pas. Ce récit achevé, vous chercherez sans doute des raisons à tout cela, c'est inutile ; je vous l'affirme : il n'y en a aucune. J'ai osé, c'est tout. J'ai franchi les limites. Vous pas. Et j'ai atteint mon but. Le reste, c'est la fatalité. Si tout cela vous échappe, c'est simplement que vous êtes ordinaire".

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Bale à nouveau chez Terence Malick !?!

Publié le par 007bond

Christian Bale devrait, à nouveau, tourner sous la houlette de Terence Malick  ( l'acteur gallois avait, déjà, été dirigé par le cinéaste dans "Le Nouveau Monde" en 2005). Le sujet ( à l'heure actuelle, sans titre ) : un drame passionnel, avec au casting :

JAVIER BARDEM

RACHEL McADAMS

OLGA KURYLENKO

Le tournage devrait démarrer à l'automne prochain. Connaissant la discrétion de Malick, j'essayerai de vous diffuser les nouvelles infos le plus rapidement possible. En attendant, rien qu'à l 'idée de voir Bale face à Bardem - 2 monstres sacrés - je jubile à l'avance. Affaire à suivre de très très près ( voir article : The Playlist ) !!!



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