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"The Road" + " The Wolfman" : 3 nouvelles affiches !!!

Publié le par 007bond

Nouvelle affiche mettant en avant le futur succès de "The Road" d'après le livre de Cormac McCarthy ( voir ma critique ) dont j'attends la sortie mercredi prochain, 2 décembre 2009, pour en juger le résultat !!!

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Pas 1 mais, 2 sublimes posters pour un "Wolfman" envoûtant, apparemment très sombre et digne des plus grands films de "Loup-Garous"; sortie prévue pour le 10 février 2010 !!!

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Histoire(s) du Cinéma : Cinéma et Philosophie !!!

Publié le par 007bond

Pour tous ceux qui ont l'amour de la philosophie et du cinéma, je les invite à venir découvrir la semaine "Cinéma et Philosophie" aux Rencontres cinématographiques de Digne-Les-Bains et des Alpes de Haute-Provence - Voir Programme - du 23 au 26 novembre 2009 : Courts et Longs-métrages seront présentés, certains en présence des réalisateurs, de journalistes et philosophes, dont le magnifique court-métrage "La Jetée" de Chris Marker (1962) où l'histoire de savants post-nucléaires qui traquent le passé dans les rêves d'un cobaye humain pour capturer l'espace-temps, qui a inspiré le réal anglais Terry Gilliam et ses scénaristes pour le plus qu'excellent "L'Armée des douze singes".

Un rendez-vous cinématographique à ne pas rater !!!

"Le terme philosophie fait souvent peur par crainte de questions compliquées et de vocabulaire obscur. Aussi, associer philosophie et cinéma surprend et mettre en relation concepts et images n'est pas une évidence. Et pourtant, cinéma et philosophie ne désignent-ils pas notre rapport au monde sur des modes différents ? Malgrè cela, le questionnement demeure. En concevant un programme intitulé "cinéma et Philosophie", il convenait d'éviter l'illustration banale et réductrice par des images et des sons. Le cinéma n'est-il pas l'expression du monde et du réel, et sa rencontre avec la philosophie n'est-elle pas le moyen de réfléchir et répondre à la question "Qu'est-ce- que le cinéma ? "." Jean-Pierre Castagna, Président des Rencontres Cinématographiques de Digne-Les-Bains et des Alpes de Haute-Provence.

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"Les Fleurs du Mal" ou le goût de la provocation !!!

Publié le par 007bond

S'il y a bien un auteur qui m'est marqué dans mes études, c'est le grand Charles Baudelaire. Génie de la poésie tragique et de la grande poésie tout court, ses poèmes sont, de nos jours, toujours aussi modernes !

Charle Baudelaire, né à Paris le 9 avril 1821, esprit très rebelle, malgrè une fortune héritée de son père, mise sous tutelle par son beau-père, va devoir travailler. Il se consacre à la critique d'Art et à la traduction des oeuvres d'Edgar Poe. Le 21 juin 1857, le recueil de tous les scandales " Les Fleurs du Mal" - recueil de vers exaltant la beauté en germe dans toute sa perversité, dans toute sa souffrance - paraît. S'ensuivent, des séries d'articles de presse qui accuseront Baudelaire d'immoralité. Un procureur général ordonne la saisie des exemplaires. Après un procès et une condamnation, l'écrivain doit verser une amende et 6 poèmes sont retirés de l'ouvrage. Le soir même du verdict, Baudelaire apparaît dans une brasserie parisienne, crâne rasé et en tenue de guillotiné. Il éprouve, alors, un profond sentiment d'injustice qui ne le quittera plus. Une seconde édition, de son recueil, lui permet de rajouter de nouveaux poèmes, malgrè une nouvelle condamnation en 1866. Mais Baudelaire se sent incompris par le public et rejeté par la société. Il s'éteint, le 31 août 1867, le corps rongé par la syphilis, l'alcool et autres substances hallucinogènes. Dès lors, son livre rencontrera le succès et sera reconnu comme un chef-d'oeuvre. Il faudra attendre 1949 pour que la cour de cassation annule la condamnation des "Fleurs du Mal", considérant que les poèmes ne renferment aucun terme "obscène" ou même "grossier".

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De toutes les grandes oeuvres classiques de la littérature française "Les Fleurs du Mal" reste l'une de mes préférées.

D'un romantisme aussi noir que l'ébène, alliant la beauté à la désespérance "ces Fleurs Maladives" nous entraînent dans les tréfonds de l'âme humaine, mise à nue par un poète torturé, lui permettant de m'être des mots sur ses propres maux ! Au travers d'une plume cruelle mais néanmoins réaliste - sur les affres de la vie - ce vrai philosophe "crache" sur le papier son mal-être, ses angoisses, son dégoût pour la condition humaine ; répand sa détresse, aussi belle que malsaine, aussi intense que mélancolique, tel un venin ; jouant avec l'ironie et le cynisme, car cynisme il y a, surtout envers la femme, autant désirée et aimée que décriée.

"Les Fleurs du Mal" ont traversé le temps et même, si à mes yeux, Charles Baudelaire avait écrit ce recueil, de manière égoïste, pour tenter de soigner ses propres douleurs, Ses "Fleurs du Mal" sont devenus pour certains (es) d'entre nous, les nôtres !!! 

LES FLEURS DU MAL

LE REVENANT

Comme les anges à l'oeil fauve,

je reviendrai dans ton alcôve

Et vers toi glisserai sans bruit

Avec les ombres de la nuit ;

Et je te donnerai, ma brune,

Des baisers froids comme la lune

Et des caresses de serpent,

Autour d'une fosse rampant.

Quand viendra le matin livide,

Tu trouveras ma place vide

Où jusqu'au soir il fera froid.

Comme d'autres par la tendresse

Sur ta vie et sur ta jeunesse,

Moi, je veux régner par l'effroi.

CITATIONS DE BAUDELAIRE A TRAVERS SES POEMES

" La femme est l'être qui projette la plus grande ombre ou la plus grande lumière dans nos rêves."

" Faut-il qu'un homme soit tombé bien bas pour se croire heureux."

" Dieu est le seul être qui, pour régner, n'ait même pas besoin d'exister."

" Le diable, je suis bien obligé d'y croire, car je le sens en moi."

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1er poster français de "Wolfman" + 3 posters du "Alice" de Burton !!!

Publié le par 007bond

Voici les 3 nouveaux posters, toujours, haut en couleurs du "Alice" de Tim Burton, sortie prévue le 7 avril 2010 !!!

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1er poster français du "Wolfman" sobre et très anglais, sortie prévue le 10 février 2010; espérons 2 très bons films en perspective pour la nouvelle année 2010 !!!



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"Un instant d'éternité" avec Heath Ledger !!!

Publié le par 007bond

"L'Imaginarium du Docteur Parnassus" a été réalisé par Terry Gilliam en 2008 et sorti dans les salles, le 11 novembre 2009. Au casting :

HEATH LEDGER/TONY

CHRISTOPHER PLUMMER/DR PARNASSUS

TOM WAITS/M.NICK

LILY COLE/VALENTINA

ANDREW GARFIELD/ANTON

VERNE TROYER/PERCY

JOHNNY DEPP/TONY 1

JUDE LAW/TONY 2

COLIN FARELL/TONY 3

" Avec sa troupe de théâtre ambulant, "L'Imaginarium", le docteur Parnassus offre au public l'opportunité unique d'entrer dans leur univers d'imaginations et de merveilles en passant à travers un miroir magique. Mais le docteur Parnassus cache un terrible secret..."

Il y a des "manèges enchantés" que l'on ne voudrait jamais quitter, "L'Imaginarium..." en fait partie. Ce rocambolesque petit théâtre ambulant habité de saltimbanques peu ordinaires, à la fois merveilleux et dangereux, offre au spectateur la chance d'assister à un voyage onirique signé "Terry Gilliam".

Pactisant avec le Diable/impressionnant Tom Waits, il y a fort longtemps, et gagnant l'immortalité, le docteur "Parnassus"/excellent Christopher Plummer va devoir se lançer, corps et âme, dans une course contre le temps pour sauver "l'objet de tous les désirs" tant convoité par le Malin, sa douce et tendre fille Valentina/délicieuse Lily Cole. Mais à bien y regarder de plus près, "le démon" n'est pas celui que l'on croit !

Génial conteur des temps modernes, l'ex.Monty Python réussi une de ses plus belles paroboles sur notre univers littéralement "étranglé" par un capitalisme toujours plus étouffant. Son spectacle coloré, gentiment barré aux personnages originaux - simples marionnettes face à un monde en perpétuel mouvement - où un miroir magique tient lieu de tous vos désirs, prouve qu'il est le seul réal - ou presque - à posséder le don de multiplier les histoires dans une seule oeuvre : histoires enchantées, désenchantées dans l'imagination fantasque d'un grand enfant à l'esprit bouillonnant d'inventivité. Un voyage extraordinaire où les frontières entre la fiction, le réel, la poésie, la philosophie, la mélancolie, l'art et le mal sont étroitement liées; et l'absence du regretté Heath Ledger/parfait dans le rôle de "Tony", autant charmeur que calculateur, ne fait que renforcer ce moment unique. Pendant 1h40, ce petit théâtre, aux milles artifices de bric et de broc, ne vise qu'un seul but : faire, au-delà de la rêverie, réfléchir le spectateur.

" L'Imaginarium du Docteur Parnassus", ultime dernier rôle d'un immense comédien australien et chef-d'oeuvre baroque d'un grand cinéaste anglais à l'univers débridé, fantasmé, est un inoubliable tour de passe-passe féérique. Celui qui a récemment déclaré "Je réinvente la réalité tous les jours" délivre un vibrant hommage à "L'Imaginaire", seul maître de cette sublime illusion cinématographique, humblement titrée à la fin du dernier clap : "Un film d'Heath Ledger et de ses amis"!!!

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L'Imaginarium selon Terry Gilliam : " L'Imaginarium" est un univers situé de l'autre côté du miroir. Il révèle votre imagination, la laisse grandir, s'épanouir et vous emporter. Evidemment, il y a un prix à payer. Il vous permet de survoler le plus merveilleux des mondes comme le plus affreux. Dans tous les cas, à un moment donné, vous devrez faire un choix, quelque part à la frontière entre les deux. Vous atteindrez alors des paradis toujours plus beaux, ou bien vous chuterez vers les abîmes de l'enfer".

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La douce folie des "Herbes Folles" !!!

Publié le par 007bond

"Les Herbes Folles" a été réalisé par Alain Resnais en 2008 et sorti sur les écrans, le 4 novembre 2009. Au casting :

SABINE AZEMA/MARGUERITE MUIR

ANDRE DUSSOLLIER/GEORGES PALET

MATHIEU AMALRIC/BERNARD de BORDEAUX

EDOUARD BAER/LE NARRATEUR

MICHEL VUILLERMOZ/LUCIEN D'ORANGE

ANNE CONSIGNY/SUZANNE

EMMANUELLE DEVOS/JOSEPHA

" Marguerite n'avait pas prévu qu'on lui volerait son sac à la sortie du magasin. Encore moins que le voleur jetterait le contenu dans un parking. Quant à Georges, s'il avait pu se douter, il ne se serait pas baissé pour le ramasser..."

Entre délire, fantaisie, conscient et inconscient, le nouveau "cru" d'Alain Resnais, bien que réussi, a laissé un étrange parfum de tristesse au jeune cinéphile que je suis !

Marguerite Muir, dentiste de son métier, se fait voler son sac à main ainsi que son portefeuille; celui-ci très vite retrouvé par le fantasque et très étrange Georges Palet. Mais ces deux-là ne savent pas encore que ce simple incident va les rapprocher. Sabine Azéma/André Dussollier - couple mythique dans l'univers de Resnais- ils excellent, comme à leur habitude, dans leurs nouveaux personnages; Mathieu Amalric et Edouard Baer démontrent une nouvelle palette de leur talent respectif, sans oublier la talentueuse Emmanuelle Devos, amie et confidente de Marguerite Muir/Sabine Azéma; seul petit bémol : l'absence du génial Pierre Arditi, compagnon de route depuis près de 30 ans du réal français, se fait cruellement ressentir !

Au travers d'une trame intimiste, minimaliste, Resnais n'a de cesse de fasciner, de surprendre le spectacteur avec des situtations anodines - partantes de rien - pour aboutir au final sur une interrogation "Made in Resnais". Mais malgrè cette magnifique "pirouette" cinématographique d'un cinéaste toujours aussi inventif et créateur, de mon propre ressenti - et sûrement de certains admirateurs du réal français - le nouveau long-métrage revêt, étrangement, l'aspect d'un film/testament. Tout au long de l'intrigue, Resnais distille, avec tact, des allusions sur son fabuleux passé cinématographique : Allusion à "L'Année dernière à Marienbad" ( voir article complet sur le film et Alain Resnais), oeuvre cultissime du cinéaste français où ses nouveaux protagonistes prennent, eux-aussi, possession de l'intrigue ainsi qu'un grand clin d'oeil à l'éternel "Hiroshima mon amour" avec les fameux "fondus enchaînés" puis un détail d'importance dans la chambre de Sabine Azéma : un tableau représentant les effets destructeurs d'une bombe nucléaire sur une ville.

Ces "Herbes Folles" réjouissent autant qu'elles troublent. Alain Resnais, avec beaucoup de pudeur, d'élégance, d'allégresse mais aussi de sérénité, mélange le loufoque, l'irréel, l'absurde à la mort; sa propre mort ? peut-être, sûrement. Mais espérons que cette douce puis enivrante "parenthèse" à la fois enchantée et désenchantée ne sera pas la dernière de ce jeune et résolument moderne grand cinéaste de 87 printemps !!!



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1er Trailer du "Choc des Titans !!!

Publié le par 007bond

En exclu : 1er Trailer de "Clash of The Titans" de Louis Letterier avec Sam Worthington; un mélange de "300" de Zack Znyder et des jeux "God Of War" en version très light. Sortie dans les salles, le 7 avril 2010 !!!

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"The Road" : Errance Post-Apocalyptique !!!

Publié le par 007bond

Cormac McCarthy, né le 20 août 1933, a grandit au coeur du Tennessee, dans une famille aisée. Il prend le nom de "Cormac" porté par un roi irlandais. Tout d'abord il étudie les arts avant de s'engager dans l'US Air Force pour 4 ans. Son premier roman " Le gardien du verger" est publié en 1965 et reçoit un accueil chaleureux. Il continue avec "L'obscurité du dehors" puis viendront "Méridien de sang" en 85, "De si jolis chevaux" et "Des villes dans la plaine". Pour en arriver  à "No Country For old Men" ( "non ce pays n'est pas pour le vieil homme" dont je vous conseille la lecture même si vous avez vu le film) adapté au cinéma par les frères Coen avec le magistral Javier Bardem ( voir ma critique). Le prix Pulitzer 2007 vient couronner "La Route" paru en 2006 et l'ensemble de son oeuvre. Basé la plupart du temps sur des faits historiques, le monde de McCarthy, au réalisme morbide et violent, très violent est truffé de dialectes. L'écrivain se refuse à écrire sur l'amour, sur le sexe mais préviligie surtout des personnages exclus, solitaires. On aime ou l'on déteste; pour ma part, je voue une admiration sans borne pour le fabuleux travail littéraire de cet écrivain atypique et pour ses "héros" fatigués, naviguant dans un univers désoeuvré !!!

CITATION

"IL N'Y A PAS DE VIE SANS COULEE DE SANG" Cormac McCarthy.

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"L'apocalypse a eu lieu. Le mode est dévasté, couvert de cendres. Un père et son fils errrent sur une route, poussant un caddie rempli d'objets hétéroclites et de vieilles couvertures. Ils sont sur leurs gardes car le danger peut surgir à tout moment. Ils affrontent la pluie, la neige, le froid. Et ce qui reste d'une humanité retournée à la barbarie".

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Difficile d'oublier "La Route", funeste errance de 2 individus, un homme et son enfant, dans monde "cendre", un monde "dévasté" par un cataclysme dont on ne connaîtra jamais la cause.

Arpentant une route, un homme et son fils (absence volontaire des "noms") essayent de survivre dans un paysage désolé où tout a brûlé et, où la faim - plus rien ne pousse sur cette terre désolée - justifie pour certains "les méchants" d'utiliser des moyens radicaux dont le cannibalisme. Alors difficile, dans ce chaos ambiant, de trouver de la nourriture, des vêtements et un endroit pour dormir, le danger étant omniprésent. Et pourtant le père avance, tient à préserver l'innoncence de son enfant ( malgrè l'horreur ), 1ère victime de cet univers apocalyptique "jonché" de ruines, de déchêts, de cadavres d'humains, d'animaux puis espère qu'au bout de cette douloureuse route - vers le sud, la mer - "l'Avenir" pourra, à nouveau, y inscrire toutes ses lettres !

Cormack McCarthy, dans la continuité de "No Country for old men", utilise un "phrasé" minimaliste, austère, dépouillé, sec; où les dialogues, réduits à leur strict minimum, renforçent cette atmosphère oppressante, lugubre mais non-dénuée d'espoir et avant tout d'amour : l'amour d'un père pour son fils; certains lecteurs y ont vu de la parano, même de la perversion au travers de cet individu. Quant à moi, grâce au talent de McCarthy et de sa plume "acide" trempée de noirceur ( que j'affectionne tout particulièrement), j'ai pu, bien au contraire, ressentir tout le désarroi puis toute l'émotion, plus que palpable, de ces 2 êtres qui transparaît tout au long du roman.

"La Route" est un Chef-d'Oeuvre littéraire "noir", une poésie "philosophique" crépusculaire où personne n'en ressort vraiment indemne : espérons qu'aucun d'entre nous, dans un avenir proche ou lointain, n'aura à emprunter "la route" de McCarthy !!!

EXTRAITS

" les jours se traînaient sans date ni calendrier. Le long de l'autoroute au loin, de longues files de voitures carbonisées en train de rouiller... Perchés sur les ressorts nus des sièges, les cadavres incinérés et rapetissés de la taille d'un enfant... Ils continuaient. Marchant sur le monde mort comme des rats tournant sur une route. Les nuits d'une quiétude de mort et plus mortellement noires. Si froides. Ils parlaient à peine. Il toussait sans cesse et le petit le regardait cracher du sang. Marcher le dos voûté. Sale, en haillons, sans espoir. Il s'arrêtait et s'appuyait contre le caddie et le petit continuait puis s'arrêtait et se retournait et l'homme levait les yeux en pleurant et le voyait là-debout sur la route qui le regardait du fond d'on ne sait quel inconcevable avenir, étincelant dans ce désert comme un tabernacle".

" Aucune liste de choses à faire. Chaque jour en lui- même providentiel. Chaque heure. Il n'y a pas de plus tard, plus tard c'est maintenant."

" On n'est pas des survivants, on est des morts vivants dans un film d'horreur".

" Sur cette route il n'y a pas d'hommes du verbe; ils sont partis et m'on laissé seul. Ils ont emporté le monde avec eux..."

" Rares étaient les nuits, où allongé dans le noir, il n'avait envié les morts".

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JOHN HILLCOAT

VIGGO MORTENSEN/LE PERE

KODI SMIT-McPHEE/LE FILS

ROBERT DUVALL/LE VIEIL HOMME

CHARLIZE THERON/LA MERE

GUY PEARCE/LE VETERAN

"The Road" ( La Route) sortira sur nos écrans en décembre 2009, espérons que John Hillcoat a su retransmettre, sur le grand écran, l'oeuvre ténébreuse de McCarthy : verdict le 2 décembre 2009 !!!

 

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Site Officiel "Sherlock Holmes" !!!

Publié le par 007bond

Voici le site Officiel de "Sherlock Holmes" avec un nouveau trailer +  synopsis + galéries photos + posters + un jeu d'enquêtes nommé 221 B complet.

Quand le "Sherlock Holmes" de Guy Ritchie rencontre "James Bond", de quoi en déstabiliser plus d'un (e) le 3 février 2010 !!!

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"Public Enemies", "Terminator" et "Heat" en Blu Ray !!!

Publié le par 007bond

Voici la sortie de 3 Blu Ray attendus pour le mois de Novembre : "Terminator Renaissance" ( avec une réserve : grosse déception pour ma part - voir critique -, en espérant dans la partie "Bonus", la fin initiale et les scènes coupées) + "Public Enemies" - Voir Critique - et le chef-d'oeuvre de Michael Mann "Heat" - Voir Critique -

"TERMINATOR" DANS LES BACS LE 19 NOVEMBRE

"PUBLIC ENEMIES" DANS LES BACS LE 24 NOVEMBRE

"HEAT" DANS LES BACS LE 25 NOVEMBRE

S'en suivra mon avis personnel : un mois de novembre 2009 pour tous les fans de Michael Mann !!!

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