"OU EST MEL" ????
Hier soir, une nouvelle B.A du nouveau Mad Max avec Tom Hardy s'est dévoilée sur la toile. Depuis une rumeur d'un caméo de Mel Gibson pointe son nez. Il y avait : où est charlie ? maintenant où est Mel ???? :) Et si l'oeil aiguisé de la fan que je suis pour l'unique Warrior de la route ne s'est pas trompé, à 1mn 27 on peut apercevoir le visage de Gibson bien arrangé par George Miller ! L'enthousiasme monte d'un cran pour la plupart mais au vu du nouveau trailer, visuellement parfait et sublimé par la musique de Pietro Mascagni "Cavalleria Rusticana" (un clin d'oeil à Jimmyc ^^), je reste hermétique à ce nouvel opus en forme de sidequel. J'aurai préféré que le cinéaste australien s'en tienne là ou qu'il reprenne Gibson (toujours en super forme) pour continuer l'aventure. J'attendrai sûrement l'avis de mon co-blogueur, pour éventuellement, le découvrir dans les salles le 13 mai 2015. Pour ma part, je ne me contenterai pas d'une seule apparition (s'il y a ?!?!?) de Mel Gibson !!!!
Pour le (grand) plaisir de mes mirettes et peut-être des vôtres ;) retour en pics black and white, trumblr et vidéo de l'irremplaçable Mad Max/The Road Warrior : THE BEST, nostalgie quand tu nous tiens !!!!
"Ma vie s’éteint, la vue se brouille, il ne reste plus que le souvenir. Je m’souviens d’un temps ou régnait le chaos, un temps de rêves brisés, de terres dévastées... Mais par-dessus tout, je me souviens du guerrier de la route. L’homme que nous appelions Max. Pour comprendre qui était cet homme, il faut revenir à une autre époque. Quand le monde tournait au carburant noir et que florissaient dans les déserts de grandes cités de tubes et d’acier... Disparues, maintenant, balayées... Pour des raisons aujourd’hui oubliées, deux puissantes tribus entrèrent en guerre allumant un brasier qui les dévora toutes les deux. Sans carburant, elles n’étaient rien. Leur empire était de paille. Le grondement des machines hoqueta et s’éteignit. Les chefs parlèrent, et parlèrent... Et parlèrent encore. Mais rien ne pouvait endiguer le désastre. Leur monde s’écroula... Les villes explosèrent provoquant une tornade de pillages. Un vent brûlant de terreur ; L’homme commença à se nourrir de l’homme. Sur les routes régnait le cauchemar de la ligne blanche. Seuls les flibustiers les plus mobiles, les pillards les plus impitoyables survivaient... Les bandes prirent le contrôle des routes prêtes à se faire la guerre pour un bidon de carburant. Dans ce maelström de pourriture, le commun des mortels était brisé, écrasé. Des hommes comme Max, Max le guerrier. Dans le rugissement d’un moteur, il avait tout perdu... Et il devint un homme vidé, consumé, ravagé, un homme hanté par les démons de son passé, un homme qui errait sans but par les terres désolées. Ce fut ici, dans ce lieu maudit, qu’il réapprit à vivre...